Sortie"La Couleur de la victoire" en vod, dvd et blu-ray - Fiche du film La Couleur de la victoire. Guide Rapide: sorties Vod, Dvd, Blu‑Ray: Les publicitĂ©s sont peu nombreuses sur ce site, mais nĂ©cessaires Ă  son financement. Si vous aimez Guide rapide, pensez Ă  faire une exception sur votre bloqueur de pub ! accueil; sorties vod dvd blu-ray. sorties vod; sorties dvd location; sorties LaCouleur de la Victoire. De Stephen Hopkins avec Jeremy Irons Jason Sudeikis Stephan James Bande-annonce Partager Donner mon avis Infos VidĂ©os Photos Casting Avis & Presse Partager Infos Titre original : Race RĂ©alisĂ© par : Stephen Hopkins Date de sortie : 27 juillet 2016 DurĂ©e : 118 minutes Genre : Biographie, Drame, Film historique Pays : Etats-Unis (2014) Langue originale : Lacouleur de la Victoire (film) DestinĂ© aux Ă©lĂšves des cycles 3 et 4, le cahier pĂ©dagogique accompagne la projection du film « La couleur de la victoire » et Ă  Ă©tĂ© conçu pour Ă©tayer la rĂ©flexion des Ă©lĂšves sur les valeurs transmises par le sport, notamment les valeurs olympiques : l’amitiĂ©, le respect et l’excellence. Ce Vay Tiền Nhanh. La Couleur de la victoire SĂ©ances News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Photos Blu-Ray, DVD Musique Secrets de tournage Box Office RĂ©compenses Films similaires note moyenne 4,0 1960 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCinĂ© Votre avis sur La Couleur de la victoire ? 162 critiques spectateurs 5 20 critiques 4 61 critiques 3 57 critiques 2 20 critiques 1 3 critiques 0 1 critique Trier par Critiques les plus utiles Critiques les plus rĂ©centes Par les membres ayant fait le plus de critiques Par les membres ayant le plus d'abonnĂ©s "La Couleur de la Victoire" ne s'arrĂȘte pas seulement Ă  un biopic acadĂ©mique, car il va bien au-delĂ ...Et mĂȘme beaucoup plus loin en mettant en Ă©vidence et avec beaucoup de tact tout le non sens, toute l'absurditĂ© due au racisme, en insistant de plus avec pertinence sur le parallĂšle entre ce qui se passe aux USA et en Allemagne Ă  la mĂȘme Ă©poque !Tout un paradoxe extrĂȘmement utile et intelligent, toute une contradiction mise en lumiĂšre entre l'attitude des AmĂ©ricains face aux Noirs de leur pays, alors qu'eux-mĂȘmes sont rĂ©voltĂ©s et opposĂ©s farouchement Ă  l'idĂ©ologie Nazi !À ce niveau, et Ă  travers le personnage ambigu de Avery Brundage dont Jeremy Irons se tire trĂšs bien... , ce film prend dĂ©jĂ  tout son sens et permet donc un intĂ©rĂȘt grandissant !!!Ensuite, le duo Jesse Owens/Larry Sneider est assez fascinant dans sa relation et certains moments sont d'une clairvoyance rare quant Ă  leur complicitĂ© et aussi Ă  leur diffĂ©rence, ce que l'athlĂšte lui rappelle en tant que difficultĂ© Ă  vivre et ce que le coach ne peut aucunement ressentir et pour cause ! Édifiant cet instant !Les deux acteurs Stephan James et Jason Sudeikis sont d'ailleurs d'une Ă©nergie et d'une persuasion sans bornes pour donner Ă  cette histoire toute l'Ă©motion nĂ©cessaire quant au contexte politique tendu de cette Ă©poque si particuliĂšre !Et donc mĂȘme si l'ensemble "souffre" d'un classicisme Ă©vident mais est-ce un dĂ©faut vĂ©ritable ou un aspect qui maintenant dĂ©range par principe ?, d'une mise en scĂšne un peu trop sentimentale, il n'en reste pas moins que pour une fois, les dialogues vifs et subtils, construits et intelligents, permettent au spectateur de saisir la portĂ©e des enjeux de chaque dĂ©cision relative aux implications de la participation des amĂ©ricains aux JO de Berlin en 1936, avec en prime tous les "dessous" traitĂ©s de maniĂšre plus qu'explicite...De grands instants, trĂšs symboliques sont aussi au programme comme l'entrĂ©e de Jesse dans un stade effrayant ou cette rencontre fraternelle avec ce grand athlĂšte allemand, ce fameux rival redoutĂ©...Stephen Hopkins a rĂ©ussi Ă  mettre en Ă©quilibre parfait l'histoire de ce sportif noir aux quatre mĂ©dailles d'or avec et pendant l'Histoire avec un H, celle des hommes de cette pĂ©riode troublĂ©e, entre la sĂ©grĂ©gation raciale assumĂ©e d'une nation, et les dĂ©buts d'une extermination dĂ©vastatrice due Ă  l'idĂ©ologie de la race aryenne de l'autre !Instructif, intelligent, un biopic enfin utile et passionnant et dont on pardonnera sans peine les quelques dĂ©fauts !À voir sans hĂ©siter... ! C'est un film absolument remarquable, je ne vois pas d'autres mots... Tout est parfait la rĂ©alisation, l'interprĂ©tation, le rendu de l'Ă©poque, bref tout est un histoire Ă©mouvante et nous avons droit lĂ  Ă  un vrai chef-d'oeuvre tout simplement ! Évidemment, tout le monde a entendu parler de Jesse Owens, cet athlĂšte Afro-AmĂ©ricain qui remporta 4 mĂ©dailles d'or aux Jeux Olympiques de Berlin en 1936. Pour autant, un petit rafraĂźchissement de mĂ©moire n'est pas inopportun, d'autant que ce biopic » est parfaitement rĂ©alisĂ© par Stephen Hopkins L'ombre et la proie », PrĂ©dator 2 » visiblement inspirĂ© par son sujet. On suit donc la vie de ce jeune sprinter surdouĂ©, de son adolescence Ă  son incroyable ascension au sein de l'Ă©quipe US d'athlĂ©tisme, malgrĂ© la politique sĂ©grĂ©gationniste menĂ©e par son propre pays. La politique internationale, sur fond de montĂ©e du nazisme, rend son exploit encore plus incroyable, tout comme son amitiĂ© naissante avec un de ses adversaires Allemands. La reconstitution des Ă©preuves sportives est particuliĂšrement bien orchestrĂ©e et on se sent vraiment immergĂ©s dans l'ambiance Ă©trange de ces derniĂšres Olympiades avant la seconde guerre mondiale. Tous les ingrĂ©dients qui vont pousser les pays du monde Ă  se dĂ©chirer sont dĂ©jĂ  prĂ©sents pour former une intrigue passionnante et rĂ©aliste. Une trĂšs belle leçon d'histoire, teintĂ©e du courage, de la fiertĂ© et de la droiture de ce sportif d'exception. La derniĂšre scĂšne qui le voit contraint, Ă  cause de sa couleur de peau, de rentrer par une porte dĂ©robĂ©e dans la fĂȘte donnĂ©e en l'honneur de ses victoires par ses propres concitoyens est Ă©difiante... Ces contradictions absurdes donnent une vision assez prĂ©cise des us et coutumes de cette Ă©poque troublante et font de La couleur de la victoire » un film magnifique qui se suit avec passion et un grand respect pour cet homme hors du commun. Excellent film Ă  propos de Jesse Owens qui est l'un des athlĂštes les plus respectĂ© et admirĂ© de l'histoire pour ce qu'il a accompli en 1936 durant les JO de Berlin. Une rĂ©alisation bien travaillĂ©e qui retranscrit une histoire passionnante. Le thĂšme est d'actualitĂ©. Recommande vivement .... Je ne connaissais pas ce monsieur et j'ai Ă©tĂ© ravie de voir ce film, ce qui m'a permis de le connaĂźtre, et de donc de connaĂźtre cette cinĂ©ma de grande qualitĂ© ! C'est du bon travail et c'est passionnant. Le mixte ambition sportive de Owens contexte politique est parfaitement gĂ©rĂ© et impose un rĂ©el intĂ©rĂȘt historique Ă  deux niveaux de lectures, mais c'est aussi un vrai gruyĂšre oĂč la lĂ©gende prend le pas sur les faits. Si on peut suivre l'adage fordien "quand la lĂ©gende dĂ©passe la rĂ©alitĂ©, alors on publie la lĂ©gende" comme acceptable du cĂŽtĂ© sportif on est dĂ©jĂ  plus rĂ©fractaire lorsqu'il s'agit des agissements en coulisse. Un bon et beau film de par son sujet et quelques fulgurances mais le film est aussi bancal sur bien des points. A voir toutefois... En cette annĂ©e olympique retour sur l’une des Ă©ditions les plus marquantes les JO de 1936 Ă  Berlin avec ce biopic sur l’athlĂšte Jesse Owens La Couleur de la Victoire. Un film de sport qui a rendez-vous avec l’ Owens est sĂ»rement l’un des plus grands sportifs que l’olympisme ait connus. Son parcours jusqu’aux Jeux olympiques de Berlin mĂ©ritait en effet Ă  lui seul un biopic. Originaire de Cleveland la mĂȘme ville que LeBron James, mĂȘme si LeBron est nĂ© Ă  Akron en Ohio, Owens montre rapidement des qualitĂ©s de vitesse et de course impressionnantes. ArrivĂ© le temps d’aller Ă  l’universitĂ© Ă  l’Ohio State University et rencontrera Larry Snyder, l’entraĂźneur qui le conduira jusqu’à Berlin. À partir de ce moment-lĂ , Owens va entrer dans la lĂ©gende notamment lors du Big Teen Championship Ă  Ann Arbor en 1995 oĂč il va battre 3 records du monde en une seule et mĂȘme journĂ©e. Dans une AmĂ©rique toujours marquĂ©e par le racisme, cette victoire reprĂ©sente tout un symbole. Un an plus tard en pleine ascension de l’Allemagne nazie d’Hitler, Jesse Owens parvient Ă  dĂ©crocher 4 mĂ©dailles d’or au cours des Ă©preuves d’athlĂ©tisme. La plus marquante restera celle du saut en longueur face au redoutable Carl Luz » Long, symbole et figure de la race arienne. Totalement en dĂ©saccord avec l’idĂ©ologie Nazie, Long va entretenir une longue amitiĂ© avec son concurrent de l’époque Jesse tout cela que tente de raconter La Couleur de la victoire. RĂ©alisĂ© par Stephen Hopkins le film passe en revue l’histoire de Jesse Owens, de son entrĂ©e Ă  la fac jusqu'Ă  ses 4 mĂ©dailles d’or avec les États-Unis aux JO de 1936. Principalement rĂ©alisateur pour le compte de sĂ©ries depuis 2007, Hopkins avait tournĂ© quelques longs-mĂ©trages plus ou moins oubliables tels que Perdus dans l’Espace avec Matt LeBlanc ou bien plus rĂ©cemment Moi, Peter Sellers en 2003 et les ChĂątiments en 2007. C’est un biopic, il ne faut donc pas s’attendre Ă  voir de l’originalitĂ©. On a donc droit Ă  une construction trĂšs classique dans la mise en scĂšne, alternant exploits sportifs et moments plus intimistes. Cependant il y a une chose que le cinĂ©aste arrive bien a retranscrire c’est la consĂ©quence et la portĂ©e de la victoire sportive au combien politique Ă  cette Ă©poque dans une AmĂ©rique trĂšs inĂ©galitaire sur le plan racial. Dans La Couleur de la Victoire, Hopkins ne s’intĂ©resse que trĂšs peu aux courses d’athlĂ©tisme, elles durent Ă  l’écran, le mĂȘme temps qu’un sprint Ă  savoir entre 10 et 20 secondes. Oubliez donc les ralentis vous n’échapperez pas Ă  quelques-uns tout de mĂȘme, ce film se concentre sur la portĂ©e et la symbolique des victoires d’Owens. Histoire de traiter le sujet dans son ensemble, le rĂ©alisateur va s’intĂ©resser au dĂ©bat de l’époque sur la participation ou non des USA Ă  ces JO. On a donc droit de suivre les tractations qui ont lieu entre le comitĂ© olympique amĂ©ricain et les dignitaires nazis et notamment avec le Joseph Goebbels. Loin d’ĂȘtre mĂ©morable, cette partie a le mĂ©rite d’ĂȘtre intĂ©ressante Ă  suivre. Jeremy Irons dans le rĂŽle d’ Avery Brundage y est impeccable comme on en dira moins de Stephan James vu dans Selma qui a Ă©tĂ© choisi pour incarner Jesse Owens. Froid et manquant cruellement de charisme le sourire lĂ©gendaire d’Owens est totalement absent, l’acteur ne dĂ©gage aucune Ăąme et aucune envie de s’y Couleur de la Victoire est donc un film Ă  voir si vous voulez connaĂźtre le parcours de Jesse Owens et de la portĂ©e de ses victoires, 3 ans seulement avant le dĂ©but de la Seconde Guerre Mondiale. TrĂšs classique dans sa mise en scĂšne et avec un acteur principal un peu froid, le film de Stephen Hopkins s’apprĂ©cie tout de mĂȘme sur certains points. Un grand et bon moment d’Histoire Ă  quelques jours de Rio. C'est un trĂšs bel hommage Ă  Jesse Owens, Ă  son courage, Ă  sa dĂ©termination et Ă  son le meilleur sans dopage dans un environnement aussi hostile, et aux États Unis et en Allemagne, est quand mĂȘme tout Ă  fait extraordinaire !!!Dommage que cet hommage ne lui a pas Ă©tĂ© offert de son vivant !!Outre la rĂ©trospective historique "La couleur de la victoire" est une trĂšs belle et Ă©mouvante histoire humaine. Il y en a eu des longs-mĂ©trages sur le sport cette annĂ©e que se soit Creed en Janvier ou encore Eddie The Eagle en Mai mais qui Ă©tait un biopic. La Couleur de la victoire est un drame biographique qui porte un message d'espoir et de libertĂ©. Il brosse le portrait de Jesse Owens, un jeune athlĂšte de l'Ohio qui a impressionnĂ© aux Jeux olympiques de Berlin en 1936. À l'aube de la Seconde Guerre mondiale, le long mĂ©trage dĂ©peint le conflit moral des AmĂ©ricains, qui ont failli se dissocier des Jeux pour dĂ©montrer leur soutien envers les Juifs, et celui d'un jeune Noir qui veut Ă  la fois dĂ©fendre son titre de champion du monde considĂ©rĂ©s comme infĂ©rieurs aux États-Unis Ă  l'Ă©poque. Le cinĂ©aste Ă©vite soigneusement de tomber dans les clichĂ©s habituels de la biographie sportive dĂ©passement de soi pour aborder la question du racisme et amĂšne Ă  encourager le hĂ©ros Ă  repousser ses propres limites. Le scĂ©nario possĂšde cette qualitĂ© de bien schĂ©matiser les faits ! La justesse du montage doit aussi ĂȘtre prise en considĂ©ration ici. La reconstitution de l'Allemagne sous le TroisiĂšme Reich s'avĂšre trĂšs crĂ©dible ! Les scĂšnes de compĂ©titions sont toutes haletantes, la rĂ©alisation est convaincante mais souvent mielleuse... Avec quelques longueurs et l'oeuvre ne livre pas toute sa gamme d'Ă©motion... John Boyega Ă©tait pressenti pour interprĂ©ter le rĂŽle de cet athlĂšte mais fini par jouer dans Star Wars VII. C'est l'acteur canadien, Stephan James qui offre une honnĂȘte performance dans le rĂŽle principal. Jason Sudeikis, choisi gĂ©nĂ©ralement pour jouer le clown de service dans des comĂ©dies amĂ©ricaines, prouve ici qu'il peut jouer dans un registre diffĂ©rent. Il interprĂšte un entraĂźneur ferme qui croit en sa nouvelle recrue. MalgrĂ© un manque d'Ă©motion, Race en ne déçoit pas ! C'est une course intĂ©ressante qui donne une ode aux jeux sportifs. Quel film, mais quel film !! Magnifique du dĂ©but Ă  la fin, mise en scĂšne, musique, acteurs, bref allez-y, c'est touchant et criant de vĂ©ritĂ©, on se croirait dans le stade en train de l'encourager, Quel destin !!! Allez-y sans hĂ©siter, vous ne le regretterez pas. la vie et la carriĂšre de ce grand champion que fĂ»t Jesse tout le racisme qu'il dut endurer et l'Ă©loignement d'avec sa famille pour devenir une lĂ©gende dans ce sport qu'est l'athlĂ©tisme cet hommenous montre son courage, sa fiertĂ© , son intelligence pour ne pas rĂ©pondre Ă  l'ignominie. et son palmarĂšs fabuleux est lĂ  pour lui donner Owens vous ĂȘtes et serez toujours un grand homme. film rĂ©alisĂ© avec beaucoup de soins particuliĂšrement la photographie qui Ă©claire cette belle criant de vĂ©ritĂ© et de d'or pour ce film. Un biopic indispensable sur un personnage et un athlĂšte extraordinaire qui a rĂ©alisĂ© des exploits incroyables Ă  un moment et un endroit si emblĂ©matiques. Manquant de profondeur, on a malheureusement la sensation qu'il manque des Ă©lĂ©ments indispensables Ă  la narration de cette vie. J'aime par contre beaucoup le titre anglais "Race" qui est Ă  double sens. Dans la mouvance des biopics, il fallait faire celui-ci, l'acteur incarne bien Jesse Owen et court vraiment comme lui. A dĂ©couvrir, mĂȘme si on reste sur sa faim. Excellent film, le racisme jamais aussi bien montrĂ©. Ainsi qu'un Hitler complĂ©tement .... je ne dirais rien Ă  ce sujetSuperbe biographie de l'athlĂšte, juste dommage qu'ils n'ont pas assez approfondi a certains passage, pour moi lorsque je vois le film on sait directement qu'il va gagner tout les qu'il est Ă©vident que pour lui ça a du ĂȘtre trĂšs difficile, dommage La mise en scĂšne est magnifique. Le film donne vraiment une idĂ©e de cette Ă©poque. Ce film est un drame biografique qui porte un message d'espoir et de libertĂ©. C'est l' histoire d'un jeune athlete de l'Ohio qui a impresionnĂ© aux jeux olympiques de Berlin en 1936. Cette histoire se produit dans une ambiance qui prĂ©cĂšde la II Guerre mondiale. Sans doute un grand Ă©vĂšnement, les juex Olympiques, mais sur un gouvernement particulier comme l'Allemagne nazie. Le cineaste a evitĂ© soignensement de tomber dans les clichĂ©s habituels de la biographie sportive pour aborder la question du racisme et amener Ă  encourager les hĂ©ros Ă  repousser ses propes limites. Je crois que ce film est un bon exemple, specialement pour les jeunes de croir en leurs reves. Le personage exprime que l'effort, la persĂ©vĂ©rance et la foi en lui mĂȘme peut conduire a la rĂ©ussite. Peu importe le chemin Ă  suivre pour vaincre l'adversitĂ©. Les meilleurs films de tous les temps Meilleurs films Meilleurs films selon la presse PremiĂšre europĂ©enne – Analyses et interviews autour du film Race Dans le cadre d’un travail pĂ©dagogique rĂ©alisĂ© autour du film La Couleur de la Victoire Race en anglais, visionnĂ© en VOST au cinĂ©ma de SegrĂ©, les Ă©lĂšves de premiĂšre europĂ©enne ont pu rĂ©aliser diffĂ©rents enregistrements rendant compte de leur analyse du film, et de la portĂ©e politique du sport. En voici quelques extraits Lecture Lecture Pause Lecture 0% lu », 0% en cache », 0000 Temps Ă©coulĂ© 0000 DurĂ©e 0000 Couper le son Volume Sous-titres Lecture Lecture Pause Lecture 0% lu », 0% en cache », 0000 Temps Ă©coulĂ© 0000 DurĂ©e 0000 Couper le son Volume Sous-titres Au terme de la sĂ©quence, le travail assignĂ© a consistĂ© en la rĂ©alisation d’une interview entre un journaliste amĂ©ricain et le sportif Jesse Owens, interview rĂ©alisĂ©e aprĂšs les Jeux et son retour au Etats-Unis. Voici quelques rĂ©alisations d’élĂšves de la classe Lecture Lecture Pause Lecture 0% lu », 0% en cache », 0000 Temps Ă©coulĂ© 0000 DurĂ©e 0000 Couper le son Volume Sous-titres Lecture Lecture Pause Lecture 0% lu », 0% en cache », 0000 Temps Ă©coulĂ© 0000 DurĂ©e 0000 Couper le son Volume Sous-titres Lecture Lecture Pause Lecture 0% lu », 0% en cache », 0000 Temps Ă©coulĂ© 0000 DurĂ©e 0000 Couper le son Volume Sous-titres AccĂšs NorvĂšge La Couleur De La Victoire est la dĂ©monstration qu’un rĂ©alisateur peu rĂ©putĂ© pour ses Ă©lans artistiques peut s’effacer derriĂšre son sujet, du moment qu’il est porteur. Synopsis En 1934, alors que Jim Crow vient de faire passer ses lois sĂ©grĂ©gationnistes, Jesse Owens arrive Ă  l’universitĂ© d’État de l’Ohio pour travailler avec les meilleurs entraĂźneurs de l’époque. Ce petit‐fils d’esclave va y dĂ©velopper une relation Ă©tonnante avec un entraĂźneur blanc, Larry Snyder. Devenu entraineur d’avant‐garde, obsĂ©dĂ© par la rĂ©ussite, il ne fait aucune distinction de couleur entre ses protĂ©gĂ©s, contrairement Ă  ses collĂšgues. Les deux athlĂštes n’ont qu’un objectif les Jeux olympiques d’étĂ© de 1936 Ă  Berlin. Ce film est Ă©galement la dĂ©monstration que le sport est un thĂšme ĂŽ combien cinĂ©gĂ©nique, tant il est Ă©tait ? riche de valeurs universelles, de lien Ă©troits avec l’Histoire ici bien manipulĂ©e, on y reviendra et de tout ce qui fait un film prenant suspense, rebondissements, Ă©motions et panache. Stephen Hopkins, Ă  peine remarquĂ© pour Predator 2 et Lost In Space, s’attaque ici Ă  une page d’Histoire oĂč se mĂȘlent sport, politique, lutte pour les droits civiques et montĂ©e du fascisme. Nous sommes donc en 1936 et les Jeux Olympiques d’étĂ© doivent se tenir Ă  Berlin, en pleine Allemagne nazie. Aux se pose alors la question de faire participer ou non les athlĂštes Ă  des jeux en terre fasciste, alors mĂȘme ironie de l’histoire que le pays de l’oncle Sam vient de voter les fameuses lois sĂ©grĂ©gationnistes envers les noirs. Question d’autant plus importante qu’une des stars montantes de la course Ă  pieds, Jesse Owens, est noir de peau et par dĂ©finition indĂ©sirable aux Ce n’est pas rĂ©ellement un biopic que signe Stephen Hopkins, son histoire ne suit pas de personnage en particulier, mĂȘme si la camĂ©ra se braque un peu plus sur Jesse Owens et son entraineur Larry Snyder. Non, c’est plutĂŽt Ă  une tranche d’Histoire qu’on a droit, une tranche de petite histoire dans la grande, de ces Ă©vĂ©nements faibles en consĂ©quences mais forts en symboles et les symboles, Hopkins sait les manipuler. Si le film de Stephen Hopkins est une rĂ©ussite cinĂ©matographique, c’est sans doute parce-qu’il a su capter, au-delĂ  d’une mise en scĂšne bien frileuse, la portĂ©e symbolique qu’on a dĂ©cidĂ© d’attribuer aux victoires de Jesse Owens, sa dĂ©termination malgrĂ© l’opposition des militants pour les droits civiques Ă  aller dĂ©montrer au AmĂ©ricains autant qu’aux aryens qu’un noir n’est pas un sous-homme. Ce film rĂ©serve quelques grands moments de panache, comme cette incroyable sĂ©rie de victoires en l’espace d’une heure qu’Owens enregistra lors de championnats universitaires, ou encore lors des ces fameux jeux et sa lutte fraternelle face Ă  l’Allemand Luz Long. Quant aux acteurs, si Stephan James manque par moments de convictions et de relief dans le jeu, Jason Sudeikis est surprenant. Il est totalement Ă  l’aise dans cet univers des annĂ©es trente Ă  grosses voitures et chapeaux mous. Il cabotine c’est vrai, mais n’en fait jamais un usage abusif, comme un vieux routard d’Hollywood. Jeremy Irons est par contre une Ă©nigme, son jeu est toujours parfait, son personnage ambigu mais cette manie qu’il a question d’ñge, de faire cette moue Ă©trange qui lui donne des lĂšvres de poisson, est Ă©pouvantable. Sans ĂȘtre dispensĂ© de quelques tares, La Couleur De La Victoire est une rĂ©ussite, car le sujet dĂ©passe tous les enjeux techniques du cinĂ©ma. Sur le plan historique c’est autre chose, ce film est une Ɠuvre de propagande, au mĂȘme titre qu’Olympia, le fameux film de Leni Riefenstahl, interprĂ©tĂ©e ici par Carice Van Houten. En effet, Owens affirmait ne jamais avoir Ă©tĂ© snobĂ© par Hitler au contraire le chancelier l’aurait saluĂ©, comme les Berlinois l’avaient acclamĂ© mais n’avoir, en revanche, jamais Ă©tĂ© fĂ©licitĂ© par Roosevelt. Ce film reprend donc la version des vainqueurs comme toujours qui dĂ©forme et embellit la vĂ©ritĂ© historique pour en faire un objet de propagande. Sans ĂȘtre destinĂ© Ă  devenir un classique, ce film s’inscrit dans l’hĂ©ritage des grands moments d’Hollywood grande histoire, grands principes moraux lĂ©nifiants et victoire de l’individu face Ă  l’adversitĂ©. Si l’on oublie la manipulation politiquo-historique qu’est ce film, le moment de cinĂ©ma restera agrĂ©able. La Couleur De La Victoire Bande Annonce Voir aussi La Couleur De La Victoire Fiche Technique Titre original Race RĂ©alisation Stephen Hopkins Distribution Stephan James, Jason Sudeikis, Jeremy Irons, William Hurt, Carice Van Houten ScĂ©nario Joe Shrapnel et Anna Waterhouse Direction artistique David Brisbin Costumes Mario Davignon Montage John Smith Photographie Peter Levy Production Jean-Charles Levy, Luc Dayan, Nicolas Manuel, Karsten BrĂŒnig, Kate Garwood, Stephen Hopkins, Thierry Potok, Louis-Philippe Rochon et Dominique SĂ©guin2 SociĂ©tĂ©s de production Forecast Pictures, JoBro Productions & Film Finance, Solofilms et Trinity Race SociĂ©tĂ©s de distribution La Belle Company France, SquareOne Entertainment Allemagne Pays d’origine France, Allemagne, Canada Langue originale anglais Genre biographie, drame, sport DurĂ©e 134’ Date de sortie 27 juillet 2016

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